Soupir est une création originale composée pour le musée d’Orsay.
Cette oeuvre est une réponse émotionnelle et poétique au processus chaotique du monde.
La narration est présentée par la succession de différents tableaux, chacun une étape de l’impact humain sur une nature innocente.
La pièce s’ouvre sur des chants d’oiseaux, mêlés au pouls d’une nature harmonique vierge de toute activité humaine.
Petit à petit, l’humain curieux vient s’immiscer dans cet équilibre, et tente d’imiter le son des oiseaux. Résultat d’une fascination et d’une appropriation de la représentation du vivant.
On bascule ensuite sur une expression rythmique étrangement mécanique et perturbante. Des cuivres dissonants annoncent un glas inévitable, qui vient déborder sur l’équilibre d’une nature déjà condamnée.
Le chaos prend de plus en plus de place, s’intensifie dans un gigantesque requiem de désolation. Enfin, le supplice se termine par un cri de douleur collectif : humain et instruments hurlent ensemble, longtemps, avant de se stopper net.
Reste seulement un dernier souffle, et puis c’est la fin, la fin de tout.
Composition : Constant Sala , Juliette Penin, Sacha Duru
Direction : Étienne Jarrier
Production/Régie : Alix Douglas, Camille Lenoir-Hulin, Dante Oliveira E Costa , Élenore Guilloteau, Félix Lemonnier, Lisa Fachon, Rosalie Lienhard, Zoé Lienhard
Communication : Lisa Fachon
Photos : Aliocha Kerckhove, Marc Marchand, Rémy El Sibaïe, Robin Jehl, Sébastien Goulot--Martin
Article musée d’Orsay
Cette oeuvre est une réponse émotionnelle et poétique au processus chaotique du monde.
La narration est présentée par la succession de différents tableaux, chacun une étape de l’impact humain sur une nature innocente.
La pièce s’ouvre sur des chants d’oiseaux, mêlés au pouls d’une nature harmonique vierge de toute activité humaine.
Petit à petit, l’humain curieux vient s’immiscer dans cet équilibre, et tente d’imiter le son des oiseaux. Résultat d’une fascination et d’une appropriation de la représentation du vivant.
On bascule ensuite sur une expression rythmique étrangement mécanique et perturbante. Des cuivres dissonants annoncent un glas inévitable, qui vient déborder sur l’équilibre d’une nature déjà condamnée.
Le chaos prend de plus en plus de place, s’intensifie dans un gigantesque requiem de désolation. Enfin, le supplice se termine par un cri de douleur collectif : humain et instruments hurlent ensemble, longtemps, avant de se stopper net.
Reste seulement un dernier souffle, et puis c’est la fin, la fin de tout.
Composition : Constant Sala , Juliette Penin, Sacha Duru
Direction : Étienne Jarrier
Production/Régie : Alix Douglas, Camille Lenoir-Hulin, Dante Oliveira E Costa , Élenore Guilloteau, Félix Lemonnier, Lisa Fachon, Rosalie Lienhard, Zoé Lienhard
Communication : Lisa Fachon
Photos : Aliocha Kerckhove, Marc Marchand, Rémy El Sibaïe, Robin Jehl, Sébastien Goulot--Martin
Article musée d’Orsay
